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Ce sentiment d’échec

Introduction

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Titre

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Moi, c’est AnnSo

Cavalière, passionnée par le cheval et mon métier de content manager, j’ai décidé de dédier ce dernier pour accompagner les professionnels de la filière équestre.

Mon objectif est de vous apporter toutes les clés pour développer votre présence en ligne, augmenter votre notoriété et ainsi développer votre activité.

Content manager

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6 Commentaires

  1. les carnets de chicoree

    Un super article qui doit parler à beaucoup de monde ! Moi la première !

    Ce sentiment d’échec, je l’ai vécu aussi. Et aussi paradoxal que ça puisse paraître, j’ai réussi à m’en sortir non pas ne changeant de cheval, ou de coach, mais en observant encore plus mon cheval.

    Et derrière j’ai réussi à analyser la tâche que j’étais en train de demander à mon cheval et en la décortiquant jusqu’à trouver toutes les micro étapes qui me permettent d’arriver à mon but final. Mais ça je crois que c’est mon job qui m’a aidée (déformation professionnelle, vive les instit’ !) ! ^^

    Bref, je pourrais dire que tout le monde connait ce genre de situations. Et elles sont aussi formatrices que pénibles à vivre je crois ! ^^

    Réponse
    • AnnSo

      Merci beaucoup pour ton commentaire !
      J’ai eu que des super retours dessus et des témoignages très touchants. En effet, on passe tous par là, même sans parler d’équitation. Après le fait de faire une activité en contact avec un être vivant exacerbe tout.

      Sans être instit, je décortique tout également, parfois trop ! –‘ Mais ça aide aussi à comprendre certaines choses. Observer aussi aide beaucoup.

      Quoi qu’il en soit quand on a le déclic, on se rend compte que même si on en a bavé, on en sort grandi et puis ça nous permet aussi d’autant plus savourer les réussites et les moments où tout se passe bien !

      Réponse
  2. Forever Coconut

    Super article, très intéressant 🙂
    En ce qui me concerne, je ne suis qu’une simple cavalière de club, niveau Galop 4, pratiquant 1 fois par semaine, enfin bref, je pratique peu et à un niveau assez bas. Cependant, je constate que, même à ce niveau, on peut se retrouver en situation d’échec et avoir ce sentiment amer à la fin d’une séance. C’est un sentiment extrêmement désagréable qui me pousse à me poser énormément de questions (« Ai-je vraiment le niveau? », « Suis-je vraiment faite pour ce sport? », et j’en passe des pires et des meilleures). Ce sentiment d’échec me fait également perdre mes moyens et ma confiance en moi! Il n’y a rien de pire en équitation!
    Sur ce, bon week-end à toi 🙂

    Réponse
    • AnnSo

      Merci beaucoup pour ton témoignage !

      Tu sais, ça n’a rien à voir avec son niveau ou son rythme de pratique. Je suis cavalière de club et je ne monte donc pas tout les jours. Ca ne m’a pas empêché de vivre ce genre de moment, même quand j’avais un plus petit niveau.
      Le gros problème que j’ai c’est que je me compare tout le temps (c’est mal, je sais). J’ai commencé l’équitation assez tard (à 20 ans) et je me suis fait des copines au club de mon âge mais qui montait depuis enfant. J’ai très mal vécu cet écart de niveau mais en même temps il m’a poussé à me surpasser. Ca me donnait envie d’évoluer encore plus ! et c’est ce qui s’est passé !.

      Alors je ne saurai pas te donner des conseils sur la confiance en toi (et je serai très mal placée pour le faire étant donné que la mienne est à -8000) mais s’il y a une chose que j’ai appris c’est de ne jamais abandonner. Après tout, si on fait ce sport c’est pour nous, par passion, qui peut dire si on est fait pour ça ou pas ? On prévoit pas d’en faire notre métier. Alors même si parfois tu doutes, n’oublie pas pourquoi tu as choisi de monter à cheval !

      Bon week-end à toi !

      Réponse
  3. Laurine

    Ok donc j’ai eu les larmes aux yeux en lisant ton article.
    Parce que je suis en pleine phase de « régression ». J’ai perdu toute confiance en moi, en mon cheval – je suis tombée en balade en perdant le contrôle.
    Et je stress à mort, c’est con, ça m’énerve, j’ai l’impression d’être une débutante.
    J’ai confié mon cheval à ma coach.
    Je me remet à monter l’un de ses chevaux, une assurance vie. J’ai éclaté en sanglots lors de ma première séance, j’ai craqué, sous le stress de cette peur qui me prenais la gorge après cette chute. (je ne me suis pas fait mal, mais j’en ai pris un coup au moral)
    Mais j’apprends.
    Ce stress, je cherche à le gérer.
    Et j’accepte de changer de cheval pour mon bien (et celui de mon cheval)
    C’est une phase, je le sais, mais elle est frustrante, horriblement dure pour la confiance en soi, et pour le moral.
    Ca passera, et j’apprendrais. (j’espère)

    Merci pour ton article!

    Réponse
    • AnnSo

      Oh, je n’ai pas voulu retourner le couteau dans la plaie ! 🙁

      Ton contexte est plus particulier parce qu’il y a une chute, un traumatisme qui t’a ébranlé. Et si au début de ma pratique quelques chutes m’ont « refroidie », je n’ai jamais connu une chute qui m’a à ce point fait douter.

      Mais je pense qu’il ne faut pas que tu te punisses d’avoir peur de remonter. Sois plus indulgente avec toi, c’est humain d’avoir peur après une grosse chute. Plus d’un ont carrément abandonné d’ailleurs. Tu as eu le courage de remettre le pied à l’étrier et ça, c’est déjà une victoire, tu devrais en être fière ! Tu as eu l’intelligence de reconnaître cette faiblesse (passagère) et de confier ton cheval à ton coach. Ca aussi c’est courage et tu devrais aussi en être fière.

      Il faut que tu te laisses du temps. A trop te mettre la pression, tu risques de nourrir ton stress et de ne plus pouvoir t’en défaire. Laisse le sortir. Si tu as besoin de pleurer, pleure, ça soulage aussi, c’est une manière d’évacuer la pression. Et sois fière de chaque petite marche montée, retrotter, regaloper, remonter sur ton cheval, ressortir en extérieur…

      Bon courage à toi et surtout tiens moi au courant (et n’hésite pas si tu as envie ou besoin d’en parler. Fb, mail, insta, je suis partout 😉 )

      Réponse

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